On parle de prévention secondaire lorsque l’implantation fait suite à un premier épisode d’arythmie ventriculaire et de prévention primaire lorsque l’implantation se fait avant tout accident rythmique sur la base d’une stratification du risque.
Elle se base avant tout, en prévention primaire, sur le niveau de la fraction d’éjection ventriculaire gauche (‹35%), chez un patient symptomatique ayant reçu un traitement médical optimal depuis plus de 3 mois et à plus de 40 jours d’une revascularisation coronaire ou d’un infarctus du myocarde (IDM).
Il faut souligner qu’on peut avoir affaire à des défibrillateurs (DAI) mono-chambres, double-chambres voire triple-chambres qui proposent une fonction de resynchronisation cardiaque (CRT-D).
Certains défibrillateur simple-chambre ont une sonde entièrement sous-cutanée, sans aucun matériel intra-cardiaque.